Wing Chun

Le Wing Chun est un art martial chinois respectant les traditions, venant du Sud de la Chine, dédié au combat rapproché, incluant des techniques à mains nues et le maniement d'armes.



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Art martial chinois - Wing Chun

Le Wing Chun est un art martial chinois respectant les traditions, venant du Sud de la Chine, dédié au combat rapproché, incluant des techniques à mains nues et le maniement d'armes.

Très développé à Hong-Kong et Taïwan, le Wing Chun a bénéficié au XXe siècle d'une rapide expansion en Europe ainsi qu'aux USA, en raison surtout de l'efficacité au combat qu'il permet rapidement d'acquérir, de méthodes modernes d'enseignement, et de la notoriété de l'acteur Bruce Lee.

Enseigne d'une salle de Wing Chun à Hong-Kong avec les caractères respectant les traditions ???

En Chine, cet art martial est le plus souvent désigné par ??? (écriture simplifiée) ou ??? (écriture traditionnelle). S'il s'écrit de manière semblable, il n'est pas prononcé et transcrit de la même manière selon les régions : Yǒngchūn quan en pinyin mandarin, Wing-Chun Kuen en Wade-Giles cantonais. Il est constitué de 2 termes : ? (quan/kuen) qui veut dire «poing, style de boxe» et du terme ?? (Wing-chun en cantonais)  ; le nom complet est ainsi traduit par «boxe du Wing-Chun».

Dans sa désignation courte, l'art martial est désigné simplement par ces deux sinogrammes :

Wing Chun, caractères simplifiés

Cet art martial est quelquefois désigné par ??, caractères différents de ??, mais prononcés et transcrits de manière semblable : Ils sont traduits littéralement par «printemps éternel», le caractère ? signifiant «éternel, sans fin». Ces caractères désignent aussi la région du Yongchun à côté de la ville de Quanzhou (Fujian). Si l'usage de ?? semble actuellement privilégié pour les styles Wing Chun, ?? apparaît toujours dans le nom d'autres arts martiaux du Sud de la Chine (avec ?? fréquemment transcrits Weng Chun)  ; par exemple le Jee Shim Weng Chun et le Wing Chun Bak Hok Kuen (?????). [1]

En Occident, le nom de cet art martial a été transcrit de manière variable à cause de l'utilisation de méthodes de romanisation des langues chinoises différentes ou personnelles, et des différences de prononciation selon les régions chinoises. Le dialecte cantonais a surtout été privilégié. De plus, certains maitres du Wing Chun créèrent volontairement leur propre terme, pour dissocier leur enseignement personnel des enseignements respectant les traditions. A titre d'exemple, le terme Ving Tsun de Yip Man ou la marque commerciale WingTsun de Leung Ting.

Au final, cet art martial est prononcé de manière semblable en Occident, mais s'écrit avec de nombreuses orthographes différentes : Wing Chun, Ving Tsun, Wing Tsun, Wing Tsung, Yong Chun, Weng Chun, Wyng Tjun, Ving Tjun, Wing Tzun, Wing Tschun, etc... quoique l'écriture Wing Chun soit actuellement la plus commune pour désigner globalement cet art martial.

Histoire & Légendes

Carte de la Chine montrant la province du Fujian (rouge)
Article principal : Histoire du Wing Chun.

Le Wing Chun aurait été créé dans la province du Fujian en Chine il y a plus de trois siècles. L'histoire du Wing Chun était originellement transmise oralement de maître à élèves, plutôt que transcrite dans des documents. Il s'avère par conséquent complexe de confirmer ou clarifier les différentes affirmations sur sa création. Certains auteurs ont cherché à appliquer les méthodes philologiques de la critique radicale aux récits oraux du Wing Chun et d'autres arts martiaux chinois. D'autres ont tenté de discerner l'origine véritable du Wing Chun par l'analyse de ses techniques. Les premières mentions de cet art martial dans des documents non contestés apparaissent uniquement au XIXe siècle, à l'époque du maitre Leung Jan, rendant son histoire ultérieure et les divergences des différentes branches plus propices à la vérification documentaire.

La légende commune décrit une jeune femme Yim Wing Chun, au XVIIe siècle, à l'époque de la destruction par le gouvernement Qing d'un temple légendaire du Sud associé à Shaolin. Après que Wing Chun ait refusé la proposition de mariage d'un seigneur local, ce dernier aurait déclaré n'accepter cette décision que si Wing Chun pouvait le vaincre dans un duel martial. Elle demanda alors à une nonne bouddhiste Ng Mui, légendaire survivante Shaolin, de lui enseigner l'art du combat; ce style sans nom permis à Yim Wing Chun de vaincre son opposant. Elle épousa ensuite un certain Leung Bok Chau et lui enseigna cet art martial, qu'il appela ensuite Wing Chun'. Les recherches contemporaines tendent à confirmer que cette légende de Yim Wing Chun n'a aucun caractère historique.

Au XXe siècle, la transmission du Wing Chun a souffert de la Révolution culturelle. Devant la montée en puissance des Gardes Rouges, de nombreux maîtres quittèrent le pays et se réfugièrent au sud de la Chine continentale, c'est-à-dire à Hong Kong (alors colonie britannique), Formose (Taïwan) et au Viêt Nam. Par conséquent, dans les années 50, seule l'école du maître Yip Man, une école à Foshan (Wing Chun Fat San) et une école taïwanaise existaient toujours.

Dans les années soixante, Yip Man fut le premier à enseigner son style à un large public. Parmi ses élèves les plus connus de l'époque : Bruce Lee et William Cheung. Notons toujours Wong Shun Leung (le véritable instructeur de Bruce Lee), Pan Nam et Leung Ting, mais également Lo Man Kam qui contribuèrent notablement au développement mondial du Wing Chun, depuis la mort de Yip Man en 1972. Actuellement, le Wing Chun est ainsi un des arts martiaux chinois les plus pratiqués au monde.

Branches du Wing Chun

Article principal : Branches du Wing Chun.

Les branches du Wing Chun désignent des traditions et interprétations différentes du Wing Chun, et les relations entre maitres et élèves qui perpétuent ces traditions. Ces pratiquants se réclament tous d'un art martial appelé Wing Chun ; s'il existe des différences dans la pratique et les techniques, entre les différentes branches et écoles, il demeure toujours un air de famille, c'est-à-dire une base semblable de principes et techniques.

Il n'existe aucune organisation mondiale contrôlant ou certifiant les lignées des différentes traditions, ou le contenu de l'enseignement dispensé. Les branches ci-dessous sont définies selon des publications détaillant les arbres des lignées (de maitre à maitre), sans classement spécifique.

Références bibliographiques :

Principes

Quelques principes fondamentaux du Wing Chun :

  • Toujours protéger son centre que ce soit dans l'attaque ou la défense
*Canaliser d'une manière constante la poussée des bras vers l'avant
  • Utiliser la force de l'adversaire pour la retourner contre lui.
  • Utiliser les principes de déviation de force pour la défense et la ligne droite pour l'attaque
  • Quand le pont a été établi, rester collé aux avant bras de l'adversaire car l'information qui transite par le contact est plus rapide que celle qui transite par l'œil
  • Si la force adverse est trop grande, cède et utilise ton dispositif de déplacement pour te restructurer
  • Si l'adversaire recule, suis-le et maintiens la pression ; ne le laisse pas reconstruire de nouveaux plans

Techniques

Ses techniques de mains sont spécifiquement efficaces, conçues pour le combat rapproché jusqu'au corps à corps sans pour tout autant le contact des troncs entre eux. Il s'agit du ?? Chi sao. Les bras restent souples au envisageable en liaison avec une pression constante vers l'adversaire, quoi qu'il tente, ce qui sert à dévier et contrôler aisément les coups pour protéger son centre (le méridien ?? Ren Mai exactement), et de placer ses propres frappes à la moindre ouverture de garde de l'adversaire sur tous ses méridiens.

Les coups, donnés à faible distance, n'ont pas besoin d'être accélérés par la pratique interne du Qi Gong. Cette pratique interne consiste à donner une forte secousse (Fa Jing) d'une amplitude réduite après avoir touché la cible à faible vitesse. C'est tout le corps qui produit cette onde de choc (le bras est le clou, le corps est le marteau), utilisant à la fois le poids du corps, la détente globale du corps utilisé comme un fouet et l'addition des forces de l'ensemble des articulations. Ces qualités sont travaillées dans l'ensemble des formes, progressivement, jusqu'à en venir à réaliser le fondement du Qi Gong et de sa circulation dans les méridiens. Interne veut dire se maitriser soi-même et non pas maitriser son adversaire en premier.

Ce wushu comporte 8 techniques de jambes et de nombreuses variantes (développées dans les exercices au Mannequin de bois, ???, mu ren zhuang en mandarin pinyin). L'ensemble des parties du corps sont à percuter en double frappe, à commencer vers "les deux têtes", c'est-à-dire les yeux et les parties génitales.

Des techniques identiques existent pour les jambes qu'on sert à désigner par les "jambes collantes", qui permettent d'éviter les tentatives de balayages et de projections adverses, elles permettent aussi de contrôler l'adversaire par une pression sur ses pieds et genoux. Remarquons la garde de face, jambes fléchies vers l'intérieur : c'était la tenue d'une brebis entre ses jambes pour la tondre sans qu'elle puisse s'échapper. La garde moderne occidentale en fente avant est par exemple une erreur qui dénature la tradition et la transmission. Au passage sur les jonques fleuries des canaux, le combat dans une barque oblige à un équilibre plus fort et des frappes seulement de corps à corps, ce que le wing chun n'était pas et ne reste pas dans la tradition chinoise, plus interne dans l'enracinement de la garde, plus souple, plus liant. Le qi gong ?? du Shaolin respectant les traditions est perdu dans les écoles modernes occidentales.

Les armes et équipements

Mannequin du Wing Chun

Art martial du peuple Hakka des jonques fleuries, le Wing Chun utilise les armes qu'on peut trouver sur ces bateaux en compagnie de dames galantes : la perche à la fleur de prunier pour faire avancer ces jonques et la paire de couteaux papillons. C'est en fait une paire de sabres d'appontage pour qu'une femme, n'ayant pas la même force qu'un homme, puisse dénouer sans force les nœuds marins ou trancher une corde d'appontage en cas d'urgence. Ces outils deviendront ainsi, dans le danger de ce commerce, des armes redoutables.

Les pratiquants s'entraînent aussi sur un mannequin de bois. Cet «homme de bois» a la hauteur d'une personne ; il est constitué d'un tronc d'une vingtaine de centimètres de diamètre, sur lequel on a ajouté trois bras et une jambe en fente avant fixe.

En plus d'équipements identiques à d'autres arts martiaux (sacs de frappe pour travailler vitesse, puissance ou endurcissement des membres), on peut aussi trouver (selon les branches d'enseignement) une installation composée de cinq ou sept gros pieux (diamètre d'un pied), plantés verticalement, sur lesquels le pratiquant s'exerce en équilibre. Dans la branche Leung Ting, le pratiquant s'exerce aux coups de pieds ainsi qu'aux déplacements («fleur du prunier») en circulant entre trois pieux (un mètre de hauteur).

Les formes

Les formes ou taolus (??, tàolù) sont des exercices solitaires et méditatifs visant à développer la vigilance, l'équilibre, la relaxation et la sensibilité. L'exécution des formes entraîne aussi le pratiquant aux mouvements techniques fondamentaux ainsi qu'à la génération correcte de force.

La totalité des techniques du Wing Chun dérive des formes. Selon les lignées, les objectifs et les gestes de chaque forme peuvent être différents, et impliquer ainsi de nombreuses différences dans les techniques. De même, il existe des différences selon les lignées quant à la progression des pratiquants dans l'apprentissage des formes.

Dans la majorité des branches du Wing Chun, les formes sont au nombre de six : trois formes à main nue, une forme du mannequin de bois, et deux formes avec des armes.

Formes à main nue

C'est la première et principale forme en Wing Chun, qui enseigne les règles d'équilibre et de structure corporelle. Cette forme est le plus souvent reconnue comme une forme de qi gong complète.
Pour certaines branches (Yip Man), cette forme est siu nim tao, «petite idée» du dispositif, forme principale sur laquelle le pratiquant revient sans cesse. Pour d'autres branches (Pan Nam), la forme est siu lim tao, travail d'origine d'une simple «petite pratique» avec la majorité des techniques de base, qui permettra plus tard au pratiquant de se faire sa «petite idée» du dispositif.
Cette seconde forme se concentre sur les techniques de déplacements du corps total et les techniques d'entrée pour «combler le fossé» entre le pratiquant et son adversaire, mais aussi perturber sa structure et son équilibre. Cette forme permet d'apprendre les techniques principales de défense.
Les attaques de courte distance avec les coudes et les genoux sont aussi travaillées a ce stade.
La troisième forme biu gee est faite de techniques ultra courtes et ultra longues, coups de pieds bas et balayages et techniques dites d'urgence, pour contre-attaquer lorsque la structure et la ligne centrale ont été mises à mal ou que le pratiquant est gravement blessé. Le pratiquant va apprendre durant cette forme les techniques d'attaque.

Forme du mannequin de bois

Selon les lignées du Wing Chun, la forme exécutée sur le mannequin se compose de 196 mouvements, 116 mouvements, ou 108 mouvements.

Forme du bâton long

Forme des couteaux papillon

Paire de couteaux papillon du Wing Chun

La paire de couteaux papillon (????[4])  : paire de couteaux d'appontage des bateliers de Hong Kong des célèbres jonques rouges des Hakkas.

Un aspect notable du combat avec les couteaux papillons est que ses principes sont identiques à l'ensemble des autres arts martiaux utilisant des armes. En principe, n'importe quel objet qui peut être tenu dans les mains d'un pratiquant de Wing Chun suivra les mêmes principes de mouvement que ceux des couteaux papillon ; et ceci est du au fait que l'utilisation des couteaux papillons est simplement l'extension du combat à mains nues.

Chi-sao

Chi-sao (??, pinyin : chīshǒu, cantonais : chi1sau2) ou «mains collées» sert à désigner un principe essentiel du Wing Chun, et un ensemble de techniques. L'objectif du Chi-sao est de développer des réflexes sensitifs pour réagir à la pression exercée par l'adversaire, pour «coller» ce dernier et se créer une ouverture pour frapper. Dans la forme du Wing Chun enseignée en occident, Chi-sao est le plus souvent une pratique d'entrainement, reconnue comme un jeu de réflexes. Pour d'autres branches du Wing Chun, chi-sao est une forme composée d'enchainements précis.

Le Chi-sao se pratique entre deux partenaires qui maintiennent le contact de leurs avant-bras en exécutant diverses techniques, s'entraînant mutuellement à percevoir chez l'adversaire les changements de pressions, d'intention, et les angles envisageables d'attaque. Ce développement de la sensibilité aide le pratiquant à attaquer et contrer plus rapidement et exactement, avec les techniques les plus adaptées. Chi-sao ne doit néanmoins pas être confondu avec une pratique d'assauts (sparring), quoique ses principes puissent s'appliquer dans les combats.

Dans certaines lignées (Yip Man, Jiu Wan), les pratiquants débutants découvrent Chi-sao avec des enchaînements pour un seul bras, dénommés Dan Chi Sao (???).

Chi-sao se réfère aussi à Luk Sao (???, pinyin :shuāng chī shǒ), un exercice où deux partenaires enchaînent des défenses et attaques avec les mains. Les partenaires poussent et "tournent" leurs avant-bras contre ceux de l'adversaire, pour ressentir la force des attaques, tester la résistance, et trouver d'envisageables ouvertures. Cet exercice est enseigné différemment selon les branches du Wing Chun.

Le Chi-gerk (??, pinyin : chījiǎo) ou «pieds collants» est une technique d'entrainement équivalente à Chi-sao pour le travail des pieds.

En Europe

Le Wing Chun est enseigné dans l'ensemble des pays européens. Les diverses branches sont actuellement représentées, mais une majorité des écoles se réclament de la lignée Yip Man ; en raison en partie d'une forte implantation en Allemagne dès les années 1990 des écoles de Leung Ting, qui s'étendirent ensuite aux pays limitrophes. [5]

Le succès et la promotion du Wing Chun en Europe est en particulier lié à la notoriété de l'acteur Bruce Lee, aussi pratiquant de Wing Chun. [6] En réalité, Yip Man ne fut pas directement son maître ; il le confia à l'un de ses élèves avancés, Wong Shun Leung, à la pratique particulièrement orientée combat, pour lui enseigner partiellement le Wing Chun. Quelques années plus tard, Bruce Lee devenu une star du cinéma riche et célèbre, chercha à renouer avec l'enseignement de Yip Man ; mais ce dernier refusa. [7] De cette impossibilité de continuer l'étude du Wing Chun, Lee créa dès son retour aux États-Unis d'Amérique, son propre style[8] : le Jeet Kune Do. La mort de l'acteur en 1973 lança la mode "kung-fu" en occident, et l'espoir de pratiquer son style contribua au succès des écoles de Wing Chun.

Depuis une dizaine d'années, l'intérêt croissant pour la culture et les arts martiaux chinois[9], font progresser le nombre de pratiquants. L'ouverture sur la Chine offre aussi aux pratiquants occidentaux l'envisageable d'échanges avec des branches méconnues du Wing Chun.

Notes et références

  1. Usage de ?? par plusieurs branches, dont surtout Pan Nam lui-même, attesté par Leung Ting dans Roots and Branches of Wing Tsun et par les auteurs de Complete Wing Chun. Voir aussi http ://weng-chun. com et http ://www. yongchunbaihechuen. com
  2. xun qiao en mandarin pinyin, chum kiu en cantonais Yale, ?? en chinois traditionnel
  3. Biao zhi en mandarin pinyin, biu gee en cantonais Yale, ?? en chinois traditionnel
  4. Hu die shuang dao en mandarin pinyin («paire de couteaux papillon» littéralement), bart cham dao en cantonnais, bat tram dao en vietnamien
  5. Encyclopédie des arts martiaux de l'extrême-orient, Gabrielle et Roland Habersetzer
  6. "Yong Chun Quan" par Wei Feng (??), 2003, ISBN 7-81051-935-2
  7. 116 Wing Tsun Dummy Techniques as demonstrated by grand master Yip Man, rédigé par Yip Chun, février 1988, (ISBN 9627284033)
  8. "The legend of Bruce Lee" par Alex Ben Block, Dell Publishing 1974
  9. En 2005 en France, le nombre des pratiquants d'arts martiaux chinois avait progressé de prés de 75 % sur les 6 dernières années (audit du Ministère de la Jeunesse et des sports).

Bibliographie

Références pour la rédaction de cet article :

Liens externes

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"Wing Chun Wooden Dummy (Mook"

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La version présentée ici à été extraite depuis cette source le 08/12/2009.
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